Reconnaitre la souffrance psychologique liée à l’obésité et demander de l’aide
Comme toutes les dépendances, ces comportements ne sont pas volontaires. Ils sont subis, irrépressibles, impérieux. Cela prend une volonté de fer pour s’en défaire, mais heureusement, il y a des solutions.
S’entourer de personnes à l’écoute
Les groupes d’entraide, qui favorisent la socialisation et l’externalisation du problème, peuvent appuyer la volonté individuelle.
Faire appel à un soutien psychologique
L’aide psychologique est sans aucun doute la voie la plus sûre. Elle peut prendre la forme d’un soutien occasionnel ou d’une thérapie cognitive et comportementale plus systématique, voire d’une psychothérapie. L’essentiel, c’est qu’elle soit adaptée au patient afin d’être vécue comme une exploration positive lui donnant la force et la confiance nécessaires pour surmonter ses difficultés.
Dans certains cas, envisager la médication
Il est possible, aujourd’hui, de prescrire des médicaments pour contrôler les épisodes boulimiques et atténuer les secousses émotionnelles.
Parler à un professionnel de la santé
Dans tous les cas, la meilleure chose est d‘en discuter avec un médecin. Il sera le plus qualifié pour définir vers quel spécialiste se tourner, en fonction des troubles de la personne concernée.