L’obésité se définit comme un excès de masse grasse corporelle entraînant une importante augmentation du poids et pouvant avoir des effets négatifs sur la santé et le bien-être de l’individu. Depuis 1997, elle est d’ailleurs reconnue comme une maladie chronique par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Prévalence de l’obésité
On peut aujourd’hui parler d’une épidémie mondiale s’attaquant aux plus jeunes d’entre nous. Au Canada, le taux d’obésité chez les enfants de 6 à 17 ans est en effet passé de 6 %, en 1978, à 13 % en 2014. Bien que stabilisé, ce pourcentage n’a pas diminué au cours des dix dernières années, si bien que près d’un enfant canadien sur trois souffre actuellement de surpoids ou d’obésité.
À l’échelle planétaire, d’après l’OMS, plus de 1,9 milliard d’adultes (soit 26 %) étaient en surpoids et, parmi eux, on dénombrait 650 millions d’obèses (9 %). Ces chiffres ont presque triplé depuis 1975! Constat similaire au Québec, où la prévalence de l’obésité des adultes a doublé depuis 25 ans. En 2013, selon les autorités sanitaires, elle affectait 20 % des Québécois et 16 % des Québécoises. Malgré une relative stabilisation, les projections de l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) sont très préoccupantes. À l’horizon 2030, pas moins d’un homme sur quatre et d’une femme sur cinq pourraient être aux prises avec cette maladie.
Impact social et humain
À l’échelle mondiale, le surpoids et l’obésité sont aujourd’hui associés à un plus grand nombre de décès que l’insuffisance pondérale induite par la famine ou la maladie. Il s’agit là d’une situation sans précédent qui touche notamment l’ensemble des pays à revenu élevé ou intermédiaire dont fait partie le Canada. Cette mortalité s’explique par le fait que l’obésité est un facteur de risque complexe des maladies chroniques et associé à un certain nombre de déterminants socio-écologiques.
Un fléau
En 2003, une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association arrivait à la conclusion que les enfants obèses ont une qualité de vie tellement inférieure à celle des enfants de poids « normal » qu’elle est similaire à celle de ceux atteints de cancer! Le rejet, la honte, les vexations, les problèmes de santé récurrents et le manque de confiance en soi sont leur lot quotidien.
Le problème empire à l’âge adulte, alors que la privation de nourriture et le contrôle du poids deviennent de véritables obsessions. Pour les malchanceux aux prises avec une obésité morbide, tout déplacement devient un véritable défi et les maladies secondaires affectent considérablement leur qualité de vie. Même après une chirurgie bariatrique, une étude américaine a découvert que les obèses sévères ont une probabilité de faire une tentative de suicide une fois et demi plus élevée qu’avant l’intervention. D’où, d’ailleurs, l’importance d’un bon suivi et soutien post-opératoire.
Un défi de santé publique
L’obésité constitue aujourd’hui un enjeu de santé publique aussi important que le tabagisme puisqu’elle entraîne une augmentation des maladies coronariennes et cardiovasculaires, de plusieurs cancers, du diabète de type 2 et nombre d’autres complications (problèmes articulaires, difficultés respiratoires, troubles du sommeil, etc.). Des travaux de recherche ont démontré qu’en 2011, le nombre de consultations médicales des personnes obèses était 13 % plus élevé à celui des individus de poids normal et ils avaient 94 % plus de chances de passer la nuit à l’hôpital!
Des conséquences économiques importantes
Compte tenu de ce qui précède, on considère que l’obésité coûte à l’État québécois plus d’un milliard et demi en soins de santé par an, soit le dixième du coût total des consultations médicales et des hospitalisations pour les adultes québécois. Au niveau fédéral, le Réseau canadien en obésité estime que les coûts de santé reliés à cette maladie oscillent entre 4,6 et 7,1 milliards de dollars par année.
Les conséquences économiques négatives ne s’arrêtent cependant pas là. Dans les entreprises, l’obésité a un également un coût qui se traduit par de l’absentéisme, des baisses de productivité, des blessures et des dépenses d’équipements supplémentaires.
Une étude de la firme Towers Watson identifiait l’obésité, en 2014, comme le troisième facteur de risque restreignant la productivité des entreprises canadiennes. En 2016, l’obésité rétrogradait en quatrième place, derrière les absences imprévues qui n’était pas mentionnées en 2014, mais elle préoccupait 43% des répondants canadiens contre 41% deux ans plus tôt. Et c’est logique puisqu’on sait que le risque d’absence au travail serait près de quatre fois plus élevé chez les hommes obèses canadiens de 18 à 34 ans que chez leurs collègues au poids dit « normal ».
Une pente dangereuse
Dans la plupart des cas, il est possible d’enrayer le surpoids et l’obésité légère grâce à des choix de vie simples doublé d’une bonne dose de volonté et de persévérance. Si elle est mal maîtrisée, cependant, l’obésité légère peut s’aggraver et mener à l’obésité sévère et à l’obésité morbide, qui sont les stades supérieurs de la maladie.
L’obésité sévère ou morbide relève généralement d’une conjonction de plusieurs facteurs, incluant certaines anomalies génétiques complexes que la science ne sait pas encore bien maîtriser. Qu’elle soit chronique ou conjoncturelle, elle entraîne d’importantes complications affectant considérablement la qualité de vie, la santé et l’espérance de vie des patients. Face à cette situation alarmante, il ne faut surtout pas baisser les bras. De la prévention à l’intervention de chirurgie bariatrique, en passant par la réglementation, l’exercice régulier et la consultation de psychologues ou de nutritionnistes, les avenues de solution sont nombreuses et peuvent nous aider à mieux contrôler la situation.
1 Source: Obésité : prévention et prise en charge de l’ épidémie mondiale, OMS, Genève, 1997.
2 Source: Poids santé chez les enfants au Canada, labo de données de l’Agence de la santé publique du Canada.
3 Source: Vers un Canada plus sain, rapport d’étape 2017, Réseau pancan. de santé publique.
4 Source: Obésité et surpoids, OMS, octobre 2017.
5 Source: Indicateurs synthèses sur l’obésité, INSPQ, modifié le 4 avril 2017.
6 Source: Embonpoint et obésité chez les enfants au Canada, Santé publique Canada, 2017.
7 Source: Health-Related Quality of Life of Severely Obese Children and Adolescents, JAMA, avril 2003.
8 Voir Chirurgie de l’obésité et risque de suicide : « Le suivi psychologique n’est pas toujours respecté », Sciences et Avenir, octobre 2015.
9 Source: Les conséquences économiques associées à l’obésité et à l’embonpoint au Québec : les coût liés à l’hospitalisation et aux consultations médicales, INSPQ, mise à jour 2016.
10 Voir Le poids économique de l’obésité, Radio Canada, octobre 2015.
12 Source: Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (ESCC) citée dans Obésité et travail, Statistiques Canada, novembre 2015.
La hausse du taux de surpoids et de l’obésité au cours des dernières décennies s’explique assurément par les changements intervenus dans notre mode de vie. Mauvaises habitudes alimentaires, manque d’exercice physique dû au travail sédentaire, à l’automobile et à la télévision, le stress et les troubles du sommeil engendrés par le travail et la technologie sont les coupables les plus montrés du doigts. Mais des facteurs génétiques très importants sont également à l’œuvre. En réalité, l’obésité est une maladie multifactorielle complexe.
Prédisposition génétique
Les études scientifiques ayant démontré une corrélation statistique évidente entre l’héritage génétique et l’obésité sont nombreuses. Ainsi, les enfants nés de parents « normaux » ou maigres ont moins d’une chance sur dix de développer la maladie. Si l’un des parents est obèse, le risque monte à quatre chances sur dix et il atteint huit chances sur dix si les deux parents sont obèses.
De très rares cas sont causés par un seul gène défectueux altérant le métabolisme dès la naissance et conduisant de façon quasi certaine à l’obésité sévère. Les scientifiques ont cependant décelé plusieurs dizaines de gènes pouvant induire une certaine prédisposition à la maladie. Ces particularités génétiques peuvent se combiner et se retrouver aggravées par d’autre facteurs liés au mode de vie.
Globalement, on estime actuellement que la part de l’hérédité dans l’obésité s’élève à environ 40 à 50%. Des thérapies géniques sont à l’étude afin de guérir certains cas liés à une seule mutation génétique. Il est cependant encore beaucoup trop tôt pour bien comprendre et, a fortiori, être en mesure de traiter tous les facteurs génétiques associés aux cas les plus courants.
Manque d’exercice
Le manque d’exercice a une incidence certaine sur le taux d’obésité, soit en complément de facteurs génétiques, soit du fait de l’âge ou d’autres facteurs conjoncturels. Dès que notre organisme reçoit plus d’énergie qu’il n’en consomme, il transforme en effet le surplus de nourriture en graisse qu’il stocke dans le tissu adipeux. Pour ne pas prendre ni perdre de poids, il faut donc maintenir l’équilibre entre l’énergie que l’on absorbe et celle que l’on dépense.
Afin de maintenir un état de santé optimal, les adultes de 18 à 64 ans devraient faire au moins 150 minutes d’activité physique d’intensité modérée à vigoureuse par semaine. Malheureusement, seulement 15% des Canadiens atteignent ou dépassent ce quota minimal.
Mauvaises habitudes alimentaires
Bien que des famines continuent de frapper durement certaines régions du monde, l’Amérique du Nord traverse une ère de surabondance nutritionnelle liée à l’industrialisation du secteur agro-alimentaire. Encouragée par le marketing et la publicité, cette surabondance se traduit par une surconsommation excessive.
- Le grignotage continu de produits salés et sucrés riches en glucides simples et en gras ne produit pas d’effet de satiété. Résultat: on en veut encore plus.
- La grande variété des produits alimentaires offerte sur le marché dérègle également notre mécanisme de satiété. Séduits par l’attrait de saveurs inédites, nous ne cessons plus nécessairement de manger lorsque nos besoins énergétiques sont comblés. Résultat: on mange trop.
- La mode des produits «light», enfin, est trompeuse. Ces aliments faibles en gras mais également très pauvres en protéines et chargés d’édulcorants créent une véritable «toxicodépendance». Résultat: on en consomme toujours plus!
Facteurs psychologiques et pathologiques
Il n’est pas rare que les personnes souffrant d’obésité aient eu une enfance ou adolescence marquée par des carences socio-affectives et traumatismes psychiques induisant, quelques années plus tard, des troubles du comportement alimentaire. On ne peut éliminer durablement ceux-ci sans s’attaquer à leurs causes psychologiques.
Enfin, comme nous l’avons vu précédemment, l’obésité sévère est souvent liée à des facteurs génétiques, mais aussi à des pathologies complexes telles que les dérèglements métaboliques ou hormonaux. La combinaison de tous ces facteurs rend la perte de poids et son maintien extrêmement difficile pour les personnes aux prises avec les stades aigus de cette maladie.
Pour aller plus loin
Voir Étiologie: les causes du surpoids et de l’obésité, Chaire de recherche sur l’obésité.
1 Voir Les facteurs génétiques du surpoids et de l’obésité, U. Laval.
2 Voir Understanding genetics of obesity will require larger studies, effect sizes, Healio, mars 2018.
3 Chiffres cités par le Conference Board du Canada.
La principale mesure utilisée pour évaluer l’état pondéral d’un individu est l’indice de masse corporelle (IMC). Défini par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), ce chiffre se calcule en divisant le poids en kilogrammes d’une personne par le carré de sa taille en mètres. Son unité est le kilogramme par mètres carrés.
Par exemple, une personne adulte mesurant 1,75 m (environ 5′ 9″) et pesant 72 kilos (soit 165 livres) aura un IMC de 23,51 kg/m2 calculé comme suit: 72 /72 (1,75)2 = 7272 /72 3,0625 = 23,51
Voici un calculateur permettant de calculer facilement l’IMC à l’aide des mesures de poids et de taille du système métrique ou impérial: rendez-vous sur ce site.
En bref
Bien que la médecine sache mieux traiter les conséquences courantes du surpoids et de l’obésité légère qu’autrefois, il est important de surveiller son poids et, en cas d’augmentation significative, de consulter son médecin. Une meilleure nutrition, un peu d’exercice physique voire un soutien psychologique adéquat peuvent améliorer la qualité de vie tout en évitant de glisser vers l’obésité morbide et ses conséquences sérieuses.
Classification de l’indice de masse corporelle (IMC)
Le tableau suivant donne un aperçu simplifié des risques théoriquement associés aux différentes valeurs de l’indice de masse corporelle:
Classification | Sous-classe | IMC | Risque pour la santé |
Maigreur extrême | < 16 | Élevé | |
Maigreur | 16 – 18,5 | À surveiller | |
Poids normal | 18,50 – 25 | Faible | |
Surpoids | 25 – 30 | À surveiller | |
Obésité | Classe I | 30 – 35 | Élevé |
Obésité sévère | Classe II | 35 – 40 | Très élevé |
Obésité morbide | Classe III | > 40,00 | Excessivement élevé |
L’Institut de santé publique du Québec a publié une table de poids détaillée (PDF, 88 Ko) permettant de déterminer l’IMC à partir du poids et de la taille, mais également de voir au premier coup d’œil le poids à perdre (ou à prendre, dans le cas d’une insuffisance pondérale) afin d’atteindre la zone de poids santé.
L’IMC n’est pas un indice absolu
- Il n’est applicable ni à l’enfant ni à la femme enceinte
- Certains individus dotés d’une masse osseuse ou musculaire supérieure à la moyenne seront en pleine santé malgré un IMC correspondant théoriquement à un état de surpoids ou d’obésité
- Certaines populations atteignent par ailleurs le seuil d’obésité avec un IMC inférieur de plusieurs points. C’est notamment le cas en Chine, au Japon et en Asie-Pacifique.
- Enfin, d’autres mesures comme celles du tour de taille et du tour de hanche fournissent des indications complémentaires qui permettent de mieux évaluer les risques associés à un IMC élevé
Surpoids et obésité légère
En janvier 2013, un article médical publié par une équipe de chercheurs américains interpella la communauté scientifique et l’opinion publique. Cette synthèse de 97 études portant sur 3 millions d’individus dans le monde en arrivait à la conclusion qu’un léger surpoids — voire une légère obésité — conférerait une meilleure espérance de vie qu’un poids considéré comme normal. L’étude confirmait en revanche la mortalité accrue associée aux stades d’obésité plus avancés.
Ce qu’il faut retenir de cette étude, c’est qu’un surpoids raisonnable n’entraîne pas à lui seul de conséquences néfastes pour la santé physiques. Il serait même préférable à un état de maigreur ou d’anorexie entraînant des séquelles plus dommageables. On ne devrait pas avoir de préjugés envers les personnes en surpoids ni les discriminer, que ce soit dans la rue, à l’école, dans les activités sportives ou au travail. Elles peuvent être, en effet, en parfaite santé et très bien dans leur peau.
1 Voir BMI Classification, Site de l’OMS, visité le 3 mars 2018.
2 Source: Study on optimal cut‐off points of body mass index and waist circumference in Chinese adults, Asia Pacific Journal of Clinical Nutrition, janvier 2003.
3Source: Criteria and classification of obesity in Japan and Asia‐Oceania, Asia Pacific Journal of Clinical Nutrition, janvier 2003.
4Source: Association of All-Cause Mortality With Overweight and Obesity Using Standard Body Mass Index Categories, Journal of the Medical American Association, cité par une dépêche de l’AFP le 2 février 2013.

Obésité de Classe I
Avec un IMC compris entre 30 et 35, on fait face à un risque élevé de développer des problèmes de santé. Il est nécessaire d’être suivi par un médecin et de surveiller de près son hygiène de vie afin de perdre du poids ou, à tout le moins, d’éviter de glisser vers un état d’obésité plus avancé.
Les facteurs de risque pouvant aggraver la situation ne manquent pas. Par exemple, le stress provoqué par un malheur, une rupture familiale, le deuil ou une perte d’emploi est souvent un élément déterminant dans le passage de la classe I à la classe II. Un changement important de mode de vie peut l’être aussi — changement de régime alimentaire entraîné par un déménagement, par exemple, ou encore un arrêt brutal du tabac sans mesure d’atténuation adéquate. Enfin, la prise de certains médicaments peut aussi avoir comme effet secondaire une prise de poids rapide et excessive qu’il sera très difficile d’inverser par la suite.

Obésité de Classe II
Avec un IMC compris entre 35 et 40, on entre dans le champ de l’obésité sévère, avec un surpoids de 100 livres et plus. Au Québec, on évalue le nombre de personne dépassant ce seuil à 3 % de la population (soit plus de 200 000 personnes). Le suivi médical est essentiel afin de diminuer et même préférablement éliminer cette masse adipeuse excessive menaçant notre équilibre, notre santé et peut-être même, à terme, notre survie. L’entourage familial, social et professionnel a également un rôle critique à jouer de soutien, d’encouragement et d’accompagnement.
Là encore, un travail important sur les facteurs liés à l’hygiène de vie (nutrition, exercice et soutien psychologique) sera au cœur du parcours thérapeutique afin de réduire le poids d’au moins 10%. Le but ultime consiste à changer son comportement afin de reprendre le contrôle et d’inverser la tendance au surpoids.
Certains patients présentent toutefois des complications métaboliques augmentant substantiellement la probabilité d’un diabète de type 2 et d’une maladie cardiovasculaire. En ce cas, les risques associés à ces complications peuvent justifier le recours à une chirurgie bariatrique et ce, de façon plus ou moins urgente, selon l’état du patient.

Obésité de Classe III
Avec un IMC égal ou supérieur à 40, on est dans le registre de l’obésité sévère, souvent appelée obésité morbide, c’est à dire « relatif à la maladie ». En effet, la liste des complications à haut risque qui lui sont associées est longue:
- Diabète de type 2 et lipidémie anormale;
- Hypertension et maladies cardiovasculaires;
- Problèmes liés au foie, au pancréas et à la vésicule biliaire;
- Problèmes musculosquelettiques liés aux articulations;
- Problèmes liés au système reproducteur (menstruations, infertilité, impuissance);
- Apnée obstructive du sommeil;
- Certains types de cancers, notamment digestifs ou hormono-dépendants.
La maladie est alors considérée comme irréversible et la chirurgie bariatrique s’impose généralement comme la seule option possible pour minimiser les risques et restaurer une bonne qualité de vie. L’exercice ne permet plus de perdre du poids, mais le parcours bariatrique nécessite une bonne préparation comportementale et nutritionnelle.
1 Source: Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal.
2 Pour faire la distinction entre « macabre » et « morbide », consultez la Banque de dépannage linguistique de l’OQLF.
3 Source: Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal.
4 Voir 11 types de cancer corrélés au surpoids et l’obésité?, Sciences et Avenir, avril 2017.
5 Source à ne pas citer sur le site: obesite-severe-lexercice-physique-ny-peut-rien-ou-presque, Le Soleil, juin 2014.